Comportement exemplaire et discipline domestique

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il y a 4 ans

Au cours de dernière années, il s’est développé des comportements dangereux dus en partie au téléphone portable. Nos smartphones ont envahi notre quotidien, pour notre bien ou pas.

Le téléphone au volant fait baisser la vigilance et risque de provoquer des accidents.

Ma copine a la fâcheuse habitude de répondre à ses amies alors qu’elle est au volant, il faut trouver un moyen pour que cela cesse.

Mon chéri Laurent est adorable. Il a un bon boulot, s’éclate tout en gardant nue vie privée riche. Me voilà Charlène, sa partenaire, je travaille aussi mon boulot me plait. J’ai beaucoup d’amis et avec Laurent nous avons une vie sociale plutôt riche, rando, moto, activités diverses et variées.

Un jour comme un autre en rentrant du travail, j’étais au téléphone avec une copine alors que je conduisais. Emportée par la conversation, je fais un écart sur l’autre voie alors qu’une moto me double. C’était Laurent, j’ai failli renverser mon chéri. Il a vu que j’étais au téléphone et m’a déjà fait la remarque, même en Bluetooth.

On se rejoint à la maison. Je rentre toute penaude, j’en suis sûr qu’il doit m’en vouloir, je me sentais coupable, nerveuse comme une gamine qui a fait une bêtise et qui va se faire punir. J’hésite même à ouvrir la porte, j’ai un blanc. Je prends mon courage à deux mains et j’entre quand même. Je vois Laurent tout sourire comme si de rien n’était. Cela m’a d’autant plus déstabilisé.

Je n’arrivais pas à évacuer ce petit stress alors qu’ il me demande si ma journée s’est bien passée. Je lui réponds que ça allait. Puis la sienne il a passé une bonne journée, du standard comme il a l’habitude de dire. Mais il ajoute.

“J’ai bien failli me faire renverser par une voiture. C’est incroyable ce qu’on peut être distrait avec un téléphone au volant.”

Je ressens des papillons de mon estomac jusqu’au bas de mes fesses, je suis au bord des larmes, comment ais je pus faire ça, j’ai vraiment été imprudente et ça aurait pu mal voir très mal terminer.

“Mon bébé, je crois bien que c’était toi, combien de fois t’ais je dis de faire attention au volant. Beaucoup de monde appelle au volant, mais quand tu es arrêtée à un feu que tu ne démarres pas, un coup de klaxon mais c’est pas grave, tu attends quoi, de blesser quelqu’un ? Cette fois tu vas avoir droit à ta fessée, la récidive tu vas la payer”

Une larme coule mais j’avais mérité une bonne fessée et qui mieux que mon chéri pour ça. L’émotion était très intense. Il ne badine pas avec la sécurité. De moi même je dis

“Oui j’ai failli te blesser, j’ai mérité une bonne fessée, s’il te plait pardonne moi”

Cela m’a libérée. Je me sentais tellement coupable. Sans sourciller, il s’assoit sur le canapé, me fait lever devant lui et sans dire un mot il défait ma ceinture, puis défait bouton par bouton mon jean. Il en saisi la taille du jean et le descend à mes genoux. J’ai encore ma culotte mais ça ne dure pas.

Je sens ses mains qui attr a p e nt ma culotte sur le côté et il descend tout doucement ce petit morceau de tissu dévoilant mon intimité. Déculottée ainsi devant lui je me sentais comme une gamine, une régression de ma vie d’adulte. Toujours une petite larme pas séchée sur ma joue. Je regarde par terre, je n’ose pas le regarder.

Il me fait lever la tête, me regarde dans les yeux et me dit d’aller chercher la brosse à cheveux dans la salle de bain. J’esquisse un mouvement pour remonter mon jean qu’il désapprouve sur le champ. Ainsi le jean et culotte à mes genoux, cul nu je pars et reviens de la salle de bain avec mon instrument de t o r t u r e , la grande brosse à cheveux en bois.

Je me remets devant lui et lui tend la brosse, il me fait relever la tête à nouveau et dans les yeux il me fait la morale, je n’aime absolument pas ce moment, je ne suis plus une adulte responsable, je suis une vilaine petite fille qui a mérité sa fessée et je ne peux qu’accepter mon châtiment. Il attend de moi un comportement exemplaire, en tant que petite fille ou adulte. Puis il arrive à me faire dire que j’ai mérité ma fessée, et c’était vrai.

“Allonge toi en travers de mes genoux”

Ouf la morale est finie mais la punition se poursuit. Il commence doucement, à la main, régulièrement, il augmente petit à petit l’intensité. Ça chauffe un peu. Il n’est pas très bavard, mais petit à petit je me sent presque relaxée, je me place de plus en plus confortablement sur ses genoux. Cela commence à m’exciter, il le ressent et attr a p e la brosse.

“Maintenant les choses sérieuses” sur ces mots, je me blotti sur ses genoux et sort mes fesses un peu plus m’exposant à l’arrivée du bois de la brosse.

Clac, Clac, Clac…. Clac.

Quelques claques bien senties commencent à chauffer mon derrière. Il marque une petite pause.

“Ton attitude est irresponsable ma chérie, tu dois payer pour ça, ce n’est pas une bonne chose de téléphoner au volant”

CLAC, CLAC, CLAC … CLAC, les premières fessées tombent plus fort, il insiste sur chaque fesse, la douleur commence à se faire ressentir. Je me sens impuissante et dois subir, un mélange de douleur et d’excitation, je commence à pleurer. Il diminue, marque une pause.

“Mon bébé j’attends de toi un comportement exemplaire, tu ne m’as pas écouté jusqu’à présent, alors il faut que ça cesse”

CLAC, CLAC…

Une bonne dizaine de coup de brosse bien appuyé c’est dur je fais ruer mes jambes arrières, je commence à pleurer, soudain il s’arrête et me caresse les cheveux.

Une bonne minute se passe puis il me fait lever et me tire par le bras dans le coin. Voyant cela j’éclate complètement en s a n g lot, je ne sais pas je suis complètement submergé par mes émotions. Il me place face au mur les mains dans le dos, complètement exposée, je me sens plus que dénudée, les fesses rouges.

“C’est fini mon amour j’espère que tu auras un comportement exemplaire au volant maintenant, je ne voudrais pas répéter, tu le sais Ô combien je suis tolérant avec toi mais je ne joue pas avec la sécurité, tu resteras ici du temps que tu te calmes, tu réfléchiras avant de téléphoner au volant qu’il faut rester concentrée sur la route, ce n’est pas un jeu”

Je répondis par l’affirmative, jamais il ne m’avait mise au coin, mes s a n g lots redoublent d’intensité, je ne voulais pas rester là, je me sentais abandonnée, humiliée, il me rassure un peu, puis mes s a n g lots se calment petit à petit. Je pensais l’amadouer mais il est resté ferme et ça m’a rassuré quelque part.

Puis en réfléchissant bien j’ai fait une faute, j’ai payé. Il vient derrière moi, et m’enlace, je fais mine de bouder, mais ses petits bisous tendres dans le cou me font craquer. Il me retourne, mon maquillage a coulé. Il m’attire avec lui sur le canapé et me fait asseoir sur ses genoux et me dorlote.

“Mon bébé c’est fini, tu es pardonnée.”

Je me blottis dans ses bras, je m’y sens bien c’est ma place. Il s’est montré ferme, je ne pensais pas qu’il pouvait être aussi ferme lui qui est si gentil, ça m’a donné un sentiment de sécurité, toujours là quand j’ai besoin et qui aime bien châtie bien.

Il me fait allonger sur le canapé. Il revient avec de quoi me débarbouiller et de la lotion. Il retire les traces de maquillage coulé et de pleurs mélangés, me fait mettre à plat ventre et s’occupe de mettre de la lotion sur mes fesses endolories.

Après m’être déshabillée il me masse comme il sait si bien le faire, de la tête aux pieds.

Il remonte vers mes fesses et insiste bien entre mes cuisses, je me sens apaisée et excitée en même temps ; il a le don de me faire sentir relaxée en étant au septième ciel.

Après toute ces émotions nous finissons étreint sur le canapé devant la télé.

La suite est classé X.

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